mardi 8 novembre 2011

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En vrac

CROSS DE NEUF-BRISACH
Le groupe se déplace ce vendredi 11 novembre à Neuf Brisach pour y faire son premier cross de la saison et rentrer ..enfin.. dans cette saison hivernale. Une bonne occasion de faire le point sur la forme de chacun. Tout le monde sera à pied d'oeuvre de Léna à Joël.
Résultats à venir.

SURVETEMENTS
Il reste quelques survêtements "Unitas Brumath" à 50€ et de différentes tailles. Les personnes intéressées sont priées de se faire connaître rapidement car cette série sera terminée et la prochaine??????

LISTE MINISTERIELLE : ELISE POLLINI
Après Amalia et Amélie, c'est Elise qui figure sur la liste Ministerielle 2012 des athlètes classés "haut niveau". Seule une petite vingtaine d'athlètes toutes disciplines confondues figurent cette année sur cette liste. Bravo et un juste retour des choses suite à son podium national du 800m.

RESULTATS DES TESTS
Pierre vient de me communiquer les résultats des tests de VMA et récupération qui avaient été faits avant notre départ en stage. Ces résultats sont globalement conformes à mon attente, un peu surprenants pour certains. Riches d'enseignements, ils seront commentés individuellement.
Un immense merci à Pierre Ufland pour ce travail minutieux. Il sera  toujours le bien-venu parmi nous.

LA MASSE GRASSE:
Régulièrement, nous, les entraîneurs, faisons la guerre au surpoids principalement observé  chez les féminines.  Pourquoi? Lisez l'article ci-dessous et vous verrez que tout y est dit! Surtout pour ceux qui connaissent leur masse grasse.

Le taux de masse grasse des sportifs

Le taux de masse grasse des sportifs
L'indice de masse corporelle (IMC) renseigne sur votre taux de masse grasse par rapport à votre poids. Il varie selon les personnes de 10 à 30%. Et vous?

Des taux très bas

Le taux de masse grasse des sportifs est considéré comme un facteur déterminant de la performance. Pour l'évaluer, une des techniques les plus anciennes consiste à mesurer l'épaisseur des plis cutanés. L'expérimentateur effectue ces mesures en divers endroits du corps. Grâce à diverses formules, on peut alors se faire une idée assez précise de l'adiposité moyenne des individus en fonction de la discipline. On sait ainsi que les marathoniens de l'élite se situent autour de 7%. Parfois moins, jusqu'à 3,5% relevé chez un athlète dénommé "Mosquito" Madibeng qui a figuré parmi les dix meilleurs coureurs mondiaux de semi marathon. Les femmes sont habituellement plus grasses. Un travail conduit en 1970 sur des marathoniennes américaines aboutit ainsi à une valeur moyenne de 15%, avec un minimum à 6%. Le taux de masse grasse de l'ancienne détentrice de records en marathon, Grete Waitz, avait été estimé, au faîte de sa gloire en 1981, à 8%.

A quoi sert-elle?

Les trois quarts des graisses présentes dans l'organisme sont stockées dans le tissu adipeux disséminé sous la peau. Les 25% restants englobent divers constituants comme les phospholipides des membranes cellulaires, mais aussi le cholestérol qui sert à la fabrication des hormones ou encore les xénobiotiques qui piègent les polluants accumulés au cours de la vie (dioxine, pesticides, etc.). Ces molécules représentent surtout un énorme potentiel de production d'énergie (de l'ordre de 80 à 150.000 calories). Théoriquement, un coureur de 70 kilos pourrait donc enchaîner 15 marathons avant de tomber en panne sèche. Dans la réalité, les choses ne se passent pas ainsi car toutes les graisses de l'organisme ne sont pas disponibles comme carburant. Exemple: les lipides représentent 50% du poids sec du cerveau où ils servent à toutes sortes de choses, sauf à fournir de l'énergie pour des neurones qui seraient de toute facon incapables de les brûler.

Recettes et dépenses

Bref, on a tort de considérer l'ensemble des graisses corporelles sous l'angle énergétique. En outre, il faudrait également tenir compte de la nature dynamique du système. Les graisses entrent et sortent en permanence des réserves. Chez un adulte de poids stable, on estime que le tissu adipeux se renouvelle entièrement tous les 600 jours. Parfois plus lentement! On peut alors concevoir le problème de l'obésité comme un dérèglement des mécanismes de régulation. Le calcul classique d'une soustraction entre les entrées et les dépenses énergétiques ne suffit évidemment plus à souligner la complexité des phénomènes et cela explique aussi pourquoi on rencontre parfois des situations spectaculaires de résistance à l'amaigrissement, y compris chez des sujets très actifs.

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